L’attachement à l’animal apporte quelque chose que les humains ne peuvent pas apporter. »
Boris Cyrulnik, éthologue, psychiatre et neurologue.
Grâce à l’animal capable d’affection et de réciprocité, les bénéficiaires sont apaisés et rassurés. Il va se créer alors, dans cet échange, ce que Boris Cyrulnik appelle le lien d’attachement. L’animal devient pour la personne aidée une figure d’attachement. La personne va vouloir faire avec et pour l’animal auquel elle s’attache et vice et versa. C’est précisément cet attachement qui permet d’obtenir d’aussi bons résultats.